Flash Back, un air de déjà vu

Ceci étant dit : Joy & Decades [Curtis] je pense à division, figurez vous que dans le satin je vois une forêt luminée aux arbres morts. Rassurez vous, il y a pire : Mélanie prend son bain et dort avec sa combine de ski, laissant instrument de musique de la buée sur son sein. J'aimerais entrer en toi et te montrer mes collages mignons et surtout fuckés, car le roi lion est mort et que maintenant c'est Simba. Où vas-tu ? Je t'attendais, dans une file d'attente avec mes 6 brèves, poursuivi par ces hommes mascottes en pingouins. Tu as enlevé tes gants en latex, j'aime pas ça et crache-moi dessus ça peux passer. Avez vous remarqué, vous et revous, que ca va pas très bien dans ma tête ? pas très bien dans ma tête. Marc Labrèche joue dans Matusalem et la musique d'Aladdin ; le père de Rémi dans un post à l'envers, était boulanger et fait Mario Bross quand je chie. Même des indésirables malades mentales excentriques... Gardez-le en lien et revenez dans quelques mois, d'ailleurs, vous êtes toujours là et êtes prêt à sacrifier vos vies pour la survie de ce site, pantins du grand théâtre. Je suis fou et je me justifie, en tuxedo. Je ne peux vivre sans la médication, ni avec, un voilier sur les vagues+satin=lutin mange pénis et la descriptions longue et chiante qui n'est que l'introduction de mon weblog probablement+bientôt prendra peu à peu la forme de ma personalité et mon pseudonyme polymorphe. Weeping Willow, dès aujourd'hui, j'adopte les phrase courte et pas encore cette texture d'un coussin de mon enfance qui revient chaque fois que je vois cette même séquence de Pink Floyd Pompeï, comme Andy Kaufman, Eminem ou Robert Smith. Virgule là où il me plaît et point de même. Mise au point : Je suis en direct de floride au Costas show, jouant au scrabble dans un salon de billard, faisant un pari danois à l'aveugle chez les danseuses : J'veux un daïquiri, car ce weblog ne seras plus updaté. Demain je vous parlerai de quelque chose de plus concret concernant l'avenir de ce site, donc Jacob se passe un beau gros couteau et cette scène a duré 2 jours, je m'en souviendrai toujours. Ça me touche qu'il t'ait touché, ils différeront selon plusieurs facteurs dont mon état d'esprit : Sylvie et Cloé puisent leur énergie dans leur libido et malgré les bases de ce weblog, je me suis cette nuit réveillé en jouissant au meurtre. Matias lui, est devenu fou en écoutant folie de graduation alors que moi, évoqué par le bleu calme et firefly de Alpha, je restai complexé par ma syntaxe. Souviens toi mon chèr Happy, toi qui disais être un vieux fou et qui s'en fou, la fois ou avec nos vers d'eau à l'envers et le liquide restant dans le contenant, nous avons pris toutes sortes de blogueurs pour faire un blogosphère, en ce cirque machiavélique aux allures de party gay. Sam lui, un si bas nombre de visiteurs, mon nom est Sam et je suis suicidé < a remis sel, poivre, les huiles, les bases de ce weblog à l'organise toi mon très chèr Saï Mouhâ. C'est le montage du génie, puisque la bonne musique fait durcir mes couilles. >

[ Marc Labrèche joue dans Matusalem, 8 novembre 2004 ] 

Ecrit par mouha, le Mercredi 8 Décembre 2004, 19:32 dans la rubrique "Divers".

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